Triathlon de Seneffe 2023
TRIATHLON DE SENEFFE
Dimanche 28 mai 2023
Les inscriptions sont clôturées ! Il est toujours possible de s'inscrire sur place.

Les inscriptions sont clôturées ! Il est toujours possible de s'inscrire sur place.
J'ai participé à mon 1er triathlon en Indonésie ce 11 décembre dernier ! Je n'aurais jamais imaginer écrire cette phrase un jour mais nous y voilà.
Après une course annulée à 1 semaine du départ en novembre, me voilà inscrite au triathlon de la Navy organisé dans ma ville.
Après un lever à 3h30 () pour être sur place à 4h30, je suis prête à prendre le départ ! Sur la ligne une 60aines de participant dont 10 filles de mon âge.
La natation se fait dans le port de la navy, avec une eau à la propreté douteuse haha. Elle se passe globalement bien au vu de mon peu d'entraînement de natation depuis juin.
Je monte alors sur un vélo qui m'a été prêté (les selles hommes sont horribles) et sans clips, mais on fait avec ! Je suis contente du chrono et le parcours était très roulant.
Je termine par la cap en plein caniar sous 35° malgré qu'il ne soit que 7h... Je cours comme une mamie mais je finis ce triathlon avec le sourire en brandissant le drapeau belge avec la belle trifonction des TITANS !
Un compte-rendu de Germain !
Pour cette saison 2022, j'ai prévu de participer à 3 semi-Ironman avant de m’attaquer à la distance Ironman en 2023. J’avais donc choisi le Luxembourg comme premier objectif 2022.
Dimanche matin, le départ est prévu vers 09h00. Petit déjeuner à 06h00 et direction le départ vers 07h45. Un petit passage dans la zone de transition pour vérifier le vélo et installer mes bidons. J’en aurai bien besoin vu la chaleur annoncée. Et là sur les coups de 08h00, surprise annoncée, l’eau est à 24.8°C, combinaison interdite. Moi, qui suis loin d’être le meilleur nageur, je sens que cela va être dur. Je me crispe déjà avant même de partir.
Heureusement, je croise une ancienne connaissance dans la zone de transition qui me rassure : « T’inquiètes le courant est quasi nul, cela va nager facile ». Je me fais petit à petit à l’idée de nager sans combi et me dirige vers la ligne de départ. Je garde mon plan de course
établi à l’esprit. L’objectif est de finir la course entre 05h15 et 05h20. Cela va être dur avec la chaleur mais pourquoi pas.
Natation :
Le départ se déroule en rolling start. Je me place assez loin sur la ligne de départ en fonction de mon temps de natation estimé. Mon plan était de le faire en 43 min mais avec la combi.
Sans la combi, j’avoue que c’est un peu l’inconnu pour moi. L’attente est assez longue avant mon départ. Il faut dire que plus de 2000 participants à partir en rolling start, c’est long très long. J’ai de plus en plus hâte de commencer ma course. Finalement me voilà parti vers
10h10 seulement. L’eau est effectivement très bonne. Je mets une petite centaine de mètres avant de rentrer véritablement dans ma course. Finalement, ce n’est pas si mal de nager sans combi. J’y prend beaucoup de plaisir même. J’arrive à la fin de la natation en 43 min.
Plan respecté même sans la combi. Je suis agréablement surpris.
Vélo :
Place à mon point fort maintenant, le vélo. Lors de mes derniers entrainements et surtout depuis mes problèmes aux lombaires 1 mois avant, je savais que je ne pouvais pas pousser mes watts habituels au risque de finir complètement cramé. J’avais donc décidé de faire le parcours à 190 watts de moyenne sans dépasser les 210 watts. Et ainsi, espérer boucler ce parcours vélo à environ 32 de moyenne.
Le départ du vélo est entièrement plat pendant 35 km le long de la Moselle. Je trouve tout de suite une bonne position aéro sur le vélo. Je garde une vitesse stable à 35 km/h sans trop pousser pour en garder pour la partie plus accidentée. Je passe ensuite la première bosse
assez facile mais dès la deuxième petite bosse, je sens que la chaleur est déjà présente. Je décide de gérer l’effort sans trop pousser et surtout bien s’hydrater et s’asperger régulièrement. Le vent commence à se lever. Je le sens de plus en plus sur les parties en faux
plat montant. Pas mal de gens profite de ma roue sur ces parties à croire qu’ils se sont crus sur une course en peloton. Merci le non-drafting. On retrouve une route plus favorable sur les 10 derniers km qui me permet de retrouver un peu de vitesse. Je termine finalement le
vélo à presque 32 de moyenne. Plan bien respecté jusque-là. Je m’asperge bien d’eau avant de partir pour la course à pied sous 36°C.
Course à pied :
La partie en couse à pied se déroule en plein soleil, presque pas d’ombre. Je sens tout de suite, dès les premiers km, que je vais souffrir. Le plan était de faire 1 h30 sur ce semi. Mais je sens déjà dès les premières foulées que ce sera mission impossible. Je ne me
sens vraiment pas super. Les mauvaises sensations sont confirmées dès le km 3 où des douleurs intestinales apparaissent. Et là, je craque complètement dans la tête. Je songe même abandonner dès le premier tour. Finalement, après le premier tour, je me dis que ce
serait dommage d’arrêter là après tout le parcours effectué. Donc je continue en alternant marche et course à pied. Mes douleurs intestinales ne m’auront finalement jamais abandonnées de toute la course à pied. J’essaie donc de finir la ligne comme je peux. Je vois pas mal de gens marcher. Je ne dois donc pas être le seul à souffrir. Je vois également une athlète s’effondrer complètement au sol incapable de se relever. Elle devra ensuite être réanimée. Preuve que les conditions de chaleur étaient vraiment extrêmes. Finalement je termine tant bien que mal en dessous des 6h en 05h59 avec un temps de course à pied catastrophique (pour moi je précise) en 02h10. Jamais couru aussi lentement sur un semi. Après vu la distance où j’ai marché, je ne m’en sors pas trop mal.
Je fais quand même 806 sur un peu plus de 1800 à avoir terminé la course.
L’objectif n’est pas réussi, je suis un peu déçu mais à la vue des conditions météo je me dis que c’est déjà pas mal d’avoir terminé la course. Ce n’était pas un jour pour performer. J’aurai d’autres occasions pour cela. Mais tout n’est pas à jeter. Je retiendrai la bonne partie
en natation surtout en tenant compte du peu d’entrainement dans cette discipline. On va essayer de s’y entrainer un peu plus. Je sens qu’il y a pas mal de marge pour progresser. La partie vélo n’était pas trop mal non plus. Dommage de ne pas pouvoir pousser ses watts habituels sans quoi je pense que j’aurais pu faire ce parcours à 35 de moyenne. Et puis, je retiendrai le fait d’avoir terminer la course malgré les difficultés. La tête a lâché mais pas entièrement.
Maintenant place à la deuxième partie de saison. Au programme IRONLAKES (Half) et Sardaigne (IRONMAN 70.3).
Ensuite, cap sur 2023 et l’objectif Full distance (sauf si je change d’avis d’ici là).
Un lac couleur turquoise, des montagnes tout autour, du soleil… En ce samedi 04 juin, le lac d’Annecy est une carte postale à lui tout seul. Voilà un terrain de jeux parfait pour un triathlon !
Dans l’optique de se préparer au mieux pour l’Embrunman, j’avais fait le choix d’un 1 er test avec un Half « montagnard ». Au programme :
En entrée : 2000m de natation
En plat : 100km de vélo avec 2000m de D+
Et en dessert : 16km de CAP avec … 1300m de D+ et la promesse d’une ligne d’arrivée au sommet du Semnoz.
Sur papier, ça s’annonce costaud !
Arrivée à Annecy le jeudi après-midi après 7h de route, on s’installe tranquillement et puis petit plouf dans le lac. Quel bonheur de nager dans une eau turquoise avec vue sur les montagnes. On m’avait prévenu que j’allais en prendre plein les yeux et c’est déjà le cas !
Vendredi, découverte de Annecy en mode balade et puis on décide d’aller voir le sommet du Semnoz l’après-midi. En voiture la montée n’est déjà pas évidente, ça annonce une belle partie de plaisir sur la CAP pour le lendemain. Au sommet, c’est tout simplement magnifique : vue à 360 degrés sur les montagnes avec la chance d’apercevoir le Mont Blanc ! Probablement une des plus belles finishline pour un triathlon. Fin de journée, petite sortie à vélo de 30min pour tourner les jambes. Place au repos.
Samedi, jour de course ! Réveil à 5h30, le départ est à 8h30. Un Gatosport pour le p’tit déj et puis direction la zone de transition pour installer tout le matériel.
Natation :
On est +- 600 au départ sur la petite plage de sable. Deux boucles de 1000m avec sortie à l’australienne. Une première bouée après 100m, ca risque de se bousculer dans l’eau.
Départ donné, je me suis mis sur le côté gauche et ca me permet d’éviter la machine à laver jusqu’à la 1 ère bouée. Le rythme est correct mais on est obligé vers les 700m de marcher car l’eau n’est pas assez profonde pendant 40-50m, sur les cailloux c’est compliqué et ca casse le rythme. Je n’ai pas pris trop de coups et la 2 ème boucle se passe sans trop d’encombre. Le chrono sur la montre n’est pas
dingue mais je ne me formalise pas trop, déjà focus sur le vélo.
Vélo :
Transition tranquille, je prends mon temps et c’est parti pour une belle balade.
On attaque directement par un col de 10km. La vue est tout simplement magnifique sur le lac. Quel bonheur ces paysages. Il y a déjà grand soleil et la température monte assez vite : ne surtout pas oublier de s’hydrater !
L’objectif était de se mettre dans un bon tempo dans les bosses tout en en gardant un peu sous le pied pour la CAP. Le compteur affiche 260 à 270w, je garderai ce rythme-là dans les ascensions. 1 ère descente et là je comprends que je ne suis clairement pas un bon descendeur. Depuis ma chute à Namur il y a 3 ans, je ne prends plus les mêmes risques et je suis toujours sur les freins. Pas grave, ça
remonte et je continue à reprendre régulièrement quelques places. Les kilomètres défilent, les paysages sont toujours aussi beaux et la température continue de grimper : 30 degrés déjà !
Je profite du 1 er ravito au km37 pour remplir les bidons et c’est reparti. Le reste du vélo se passera de la même manière, le parcours est dur mais les jambes répondent bien.
Km 90, il ne reste plus que 10km de descente et le vélo sera terminé. J’en profite pour bien m’hydrater, reprendre un gel et essayer de tourner les jambes.
CAP :
32 degrés, plein soleil. Heureusement j’avais prévu un gilet de trail avec 2 flasques de 500ml.
Le début c’est 3 km à courir sur du macadam et puis bonjour la montée vers le Semnoz : 13km de trail pour 1300m de D+.
L’objectif était de se tester sur le départ de la CAP avec un rythme soutenu.. je tiendrai 2km à un bon rythme avant de devoir lever le pied. A partir du 4 ème km, je suis obligé de commencer à marcher.
C’est déjà dur mais on (= le gagnant de l’année passée) m’a prévenu que c’est au 11 ème km que ça devient « sérieux » ... Génial, j’ai hâte... ou pas.
Je suis surpris par plusieurs petites descentes qui me permettent de recourir un peu mais les kilomètres ne défilent vraiment pas vite. Je me fais petit à petit une raison et passe en mode « randonnée ». Le mental en prend un coup, et je me fais dépasser par plusieurs concurrents.
La chaleur est écrasante malgré les passages à l’ombre et je me fixe des objectifs intermédiaires : les ravitos ! Je teste un peu tout : chips au sel, pastèque, orange, coca, St Yorre,… J’essaye de reprendre des forces comme je peux.
11 ème km… Cela fait plusieurs kilomètres que je me demande à quoi va ressembler ce passage « compliqué » et je ne vais pas être déçu : 1,5km avec une pente moyenne de 22% ! Le genre de truc qui te met au cardio max alors que tu marches en file indienne. Il faut parfois s’aider de ses mains pour ne pas tomber. Le Semnoz c’est vraiment l’enfer !
Dernier ravito, il reste 3km. J’en ai marre mais je me force à avancer. Je demande à toutes les personnes que je croise si l’arrivée est proche… 2km... je vois enfin le sommet ! On sort de la forêt, la fin se fait à découvert au milieu des prés. Un peu de macadam, j’essaye de courir mais je sens directement les crampes arriver… Ok on oublie la course pour aujourd’hui. Il reste 300m, un dernier mur à franchir et c’est la ligne d’arrivée au sommet (1700m). Quel soulagement ! Et quelle vue !
Ca a été long, difficile mais je l’ai fait.
Cet Alpsman Half fût une belle expérience. Une natation correcte, un bon vélo et un parcours du combattant en CAP. Dommage pour les places perdues sur la dernière partie, un top 100 était possible.
Ce sport est dur mais que ce sport est beau ! Finir ce genre de triathlon est déjà une belle réussite.
Une ambiance folle avec des encouragements tout le long, une organisation au top, un endroit magnifique. Je ne peux que vous conseiller de venir sur ce tri.
Et un immense respect à ceux qui tente la version Full sur ce parcours, probablement un des plus durs en France.
Pour les amateurs de chiffres : temps global 7h20 (38min natation, 3h48 vélo, 2h46 CAP). 131 ème /600 partants
- 5443 Calories brûlées
- 4l de boisson (sans compter la tasse bue dans le Lac)
- 5 gels
- 2 pâtes de fruit
- 3 morceaux d’orange
- 2 morceaux de pastèque
- 2 verres de coca
- Des chips, des chips, des chips !
- Un coup de soleil +++ dans le cou (merci la nouvelle trifonction au col large ��)
Place à la récup.. ou presque !
Repas du soir = Mojito + pizza + burger. La tête encore un peu au sommet du Semnoz, je digère peu à peu cette aventure.
Après une bonne nuit, direction Embrun avant d’aller passer quelques jours à la côte d’Azur.
Au programme du jour : reconnaissance du Col d’Izoard en prévision de l’Embrunman !
Le lendemain de l’Alpsman ça s’annonce compliqué mais quand il faut, il faut. Hop sur le vélo et c’est parti pour 14km de montée. Finalement les jambes sont moins pires que ce que je n’imaginais, je n’avance pas très vite mais ça me permet d’admirer le paysage. 1 er passage à plus de 2000m, arrivée à la « Case déserte » et obligation de s’arrêter pour prendre des photos. Cet endroit est … lunaire !
Plus que 2km de montée mais le vent commence à souffler. Arrêt au sommet (2360m) pour une photo souvenir, obligation de mettre un coupe-vent pour la descente et je file jusque Briançon.
Retour à Embrun en voiture, les jambes ont déjà assez donné pour aujourd’hui.
Le lendemain matin, réveil à 6h et reconnaissance des 40ier kilomètres du parcours vélo d’Embrun.
Ça grimpe sec ! Mais à nouveau, les paysages sont sublimes. Le soleil est déjà là mais il fait encore frais, je ne croise personne sur les routes : un bonheur ! Je termine la sortie par la côte de Chalvet (6km à 6%), terriblement redoutée sur l’Embrunman car elle arrive après 180km... Ce sera un autre défi lors de la course.
Les 3 derniers jours ont été éprouvants, place maintenant à un peu de repos. Direction la mer, les olives et le rosé !
Embrun… rendez-vous le 15 août prochain.
Le Titan est un club génial. Et on est tous trop beaux dans nos nouveaux équipements.
On a fait connaissance avec quelques nouveaux plutôt exceptionnels ou très prometteurs.
Les anciens nous ont encore épatés. Même si peut-être que la planche des belles-filles a J-2 c’était osé.
Doug n’aime pas tellement la foule mais il aime nager presque autant que sa “maman” qui nage plus vite que tout le monde. Ah et aussi, c’est ok de manger 10 mars un jour de triathlon. C’est également ok de manger un bloc entier de comté.
JF et Adeline font quasiment aussi bien qu’il y a 10 ans. Le triathlon ça conserve. Pour les autres TITANs il va falloir qu’on remette ça dans 10 ans pour voir.
On ne sait pas si la petite larme sur la joue d’Elise était due aux allergies ou à l’émotion. On sait par contre que pleurer à l’arrivée ça arrive. En fait on aime ça tellement c’est émouvant.
On espère tous avoir la même forme que Guy pour nos 70 ans. Et la même hola à la fin de notre triathlon demi !
Participer en relais est un excellent moyen de monopoliser les podiums. Etre jeune aussi !
Des fois les puces c’est pas fiable mais heureusement Cindy est excellente au sauté de barrières nadar (des fois que 3 sports ce ne serait pas assez).
Parfois on est pas 100% certain d’y arriver et on finit quand même. Avec sourire, joie et fierté.
Et enfin, ce week-end tous ensemble c’était vraiment du pur bonheur.
Format L |
|
THOMAS jean-françois |
4:58:08 |
CALICIS chloë |
5:32:43 |
VERHAEGHE sophie |
5:38:15 |
LECOMTE damien |
5:57:51 |
GLEVICZKY andré |
6:21:13 |
LACAILLE guy |
7:18:33 |
Format M |
|
VAN DRIESSCHE fanny |
02:48:00 |
LEGROS harry |
02:50:01 |
GODEAU adeline |
03:08:11 |
GARIN yves |
03:10:38 |
BARA ludovic |
03:14:32 |
Format S |
|
FRYNS jimmy |
01:12:22 |
HISLAIRE julien |
01:18:15 |
OUDOT alice |
01:27:18 |
VICAIRE alice |
01:27:18 |
BRENNET marc |
01:27:57 |
BASTIN florence |
01:28:07 |
VANFLETEREN virginie |
01:31:44 |
JEANFILS johanna |
01:40:00 |
SMEEKENS elodie |
01:42:54 |
LEWUILLON gérard |
02:08:27 |
Tri de Gérardmer - compte-rendu par Geoffroy
Samedi 04 septembre 2021, 5h30 seul devant son petit déjeuner ….. c’est là qu’on retrouve la passion du triathlète. Aucune épreuve depuis 1 an, quelle joie de pouvoir enfin participer à un triathlon et quel triathlon ? … Celui de Gérardmer en version XL (1900m – 94km – 21km).
Dépose du vélo dans le parc à vélo...
Séance d’habillage avec la néoprène et rapidement il est 8h45. PAN ! C’est parti. 1500 personnes dans l’eau, pas facile de s’y retrouver, lequel suivre, ébloui par le soleil levant impossible de distinguer l’arrivée.
La sortie de l’eau et la transition sont bien organisées, voilà maintenant le début des 3 tours à vélo et surtout des 1800m de D+ .
Ambiance de folie le long du parcours on se croirait au Tour de France avec des encouragements personnalisés (merci des dossards nominatifs et les noms sur les trifonctions). Quelques tours de pédales, quelques ravitos et 3h45 plus tard, une dernière descente vers le lac, une transition facile et c’est le départ de 3 tours de 7km autour du lac en course à pieds.
Sympa de croiser les autres membres des Titans, petits encouragements respectifs et sans une goutte de pluie (des orages étaient annoncés !). La crouse à pieds à Gérardmer c’est également un passage sur un ponton flottant et 3 ponts passerelles en palette peu évident à franchir après 6h d’activité.. dur dur !
Enfin la ligne d’arrivée, une médaille originale, un peu d’émotion et une bonne part de tartiflette pour nous récompenser.
Une belle journée, de beaux paysages et des souvenirs pleins la tête….. il est déjà temps de penser aux inscriptions 2022.