J'ai envie de dire... Et de une!
Il a fallu attendre 26 ans d'existence, mais c'est maintenant acquis, le TITAN compte sa première IRONWOMAN.
Le 10 juillet dernier, Julie Debock a en effet terminé le triathlon complet de Roth en Allemagne, et ce avec un chrono exceptionnel pour une première participation sur ce genre d'épreuve. Jugez plutôt: elle a bouclé les 3800m de natation en 1h20'29", les 180km de vélo en 5h52'29", et termine avec un marathon couru en 3h52'29", soit avec les transitions un très beau temps total de 11h16'29". Magnifique!
Pendant ce temps, Jean-Luc, après avoir cuit à vélo et essuyé un orage de deux bonnes heures sur le marathon, terminait finalement, loin derrière Julie, son 9ème Ironman.
Ironman Karntern Austria: Une nouvelle étape vient d'être franchie avec succès dans le cadre de ma préparation pour l'Ultraman UK en septembre prochain et pour le triple Iron USA en octobre. Je passe en effet la ligne d'arrivée de Klagenfurt après 10h06 d'efforts améliorant ainsi largement mon record personnel. Le circuit de Klagenfurt est certes réputé rapide mais c'est surtout grâce à un bon marathon, couru presque de bout en bout, que je frôle la barre des 10h00. Et tant pis si les distances n'étaient soit disant pas les bonnes ...
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Pari réussi pour Julie Debock | Nouvelle Recherche |
La Liégeoise a bouclé son premier Ironman, celui de Roth, en 11h16
TRIATHLON LIÈGE C’est avec un sourire généreux et une mine enjouée que Julie Debock, qui a bouclé le triathlon de Roth, revient sur son aventure, la première du genre dans son chef. “C’est incroyable ! Quelle belle expérience ! J’ai accompli cette épreuve allemande en 11h16, ce qui, pour moi, est un exploit. À l’analyse des pulsations après l’épreuve, on a remarqué que je pourrais théoriquement faire encore bien mieux. En effet, sur les conseils avisés de mon coach, j’ai tout fait aux pulses et ce fut une réussite. Dans le marathon, je n’ai fait que doubler des coureurs. C’était très motivant.” Julie Debock est une vraie sportive et sa préparation fut minutieuse, de bout en bout. “J’ai suivi toute ma programmation (NdlR : physique, diététique…) à la lettre et ça a payé. Je n’ai ressenti aucune douleur, aucune lassitude, ni pendant la course, ni après. Je ne m’attendais pas à être aussi fraîche sur la course. Pour moi, ce n’est que du bonheur !” Le bonheur fut logiquement partagé par ses proches sur le trajet et, évidemment, sur la ligne d’arrivée. Papa, maman et le compagnon de Julie étaient omniprésents et encourageaient leur protégée à chaque instant. “C’est une motivation supplémentaire. Je garderai aussi cette image forte de mon passage à vélo dans la côte du Solarberg. C’est comme dans les cols au Tour de France. On passe dans un couloir humain et tous vous aident et vous applaudissent. C’est très émouvant, je vous assure. Le public vit à l’heure du triathlon et, à chaque instant, on se sent porté par cette foule compacte et enthousiaste.” Julie Debock , lors de cette aventure, a pris le départ sur un des plus gros triathlons. Pas moins de 3.000 partants en solo étaient de la partie, dont à peine 397 filles et une seule francophone... La Liégeoise finit 20e dans sa catégorie. Forte de cette première réussite, elle ne va pas en rester là. C’est un fait : elle est de plus en plus mordue par ce sport exigeant. “Je fais le championnat de Belgique à Eupen et, en juin prochain, je ferai un triathlon qualificatif pour Hawaï. Si tout va bien, je devrais alors avoir mon ticket pour cette épreuve mythique.” Renaud Croix Julie Debock, avec pour plus fidèle supporter son papa Christian, a bouclé son triathlon en 11h16.D. R.
Roth 2011: les photos de Christian
En préparation du 226 de Cologne, nous avons participé ce dimanche au demi de Neerpelt.
Pour commencer un aller-retour dans le canal, départ en plusieurs vagues. Ensuite 4 tours de vélo à effectuer sur des petites routes et halages en bon état et plat (160 m de dénivellée sur 93 km). Pour terminer 4 tours de course à pied sur le halage et sentiers ombragés avec passage au centre de Neerpelt où a lieu l'arrivée.
Bonne organisation, parcours agréable, ravito un peu limite. Bref un bon entraînement !
142 Philippe Mahieu 5h11 (36'-2h43-1h48)
211 Christel Lefebvre 5h35 (40'-2h59-1h51)
Résultats complets ici et de belles photos de Marc Faes ici.
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Section: SPORTS Sous Section: SPORT REGIONAL
Julie Debock a toujours vécu à fond dans le sport. Aujourd’hui, elle se prépare pour son premier Ironman TRIATHLON LIÈGE Papa sportif, maman sportive, compagnon sportif... Comment aurait-il pu en être autrement pour Julie Debock ? Après des années d’équitation à haut niveau, elle a accompagné son papa sur les triathlons et de suite, la sauce a pris. “J’ai commencé par des courtes distances. J’ai gagné pas mal de courses et j’ai arpenté les podiums à de nombreuses reprises. Aujourd’hui, à 30 ans, je pense que c’est l’âge idéal pour se lancer sur la distance Ironman. Plus de maturité, plus d’expérience, plus de recul. J’ai donc fait le grand saut et le 10 juillet, je serai au départ du Challenge Quelle à Roth.” Julie a la passion, la fougue, la volonté. Ce n’est pas pour autant une tête brûlée et sa préparation est méthodique, structurée, assistée. “J’ai la chance d’être très bien entourée. Mon ami est sportif et m’accompagne pour ma préparation à vélo, tout comme mon papa. Pour le triathlon dans son ensemble, j’ai la chance d’être suivie par une grosse pointure : Wim de Doncker compte 32 Ironman à son palmarès. Il connaît la musique. Pour la natation, mon point faible, c’est Benjamin Clabodts qui m’assiste deux à trois fois par semaine. Pour la course à pied, c’est Jean Boudart (RFC Liège) qui s’occupe de moi. Et surtout, j’ai mes supporters : les gens du Titan Nivelles et mes parents.” Julie s’est aussi entourée d’une équipe complète : kiné, médecin sportif, nutritionniste. Elle pourra évaluer ses aptitudes, après 24 semaines de travail, lors du semi de Butgenbach, ce 19 juin. “D’après Wim, pour estimer le temps d’un Ironman, on prend le temps d’un semi, on le multiplie par deux et on ajoute une heure. Facile, non ? Je sais que sur le terrain, ce ne sera pas aussi simple. J’aimerais, à Roth, finir un peu en dessous des 13 heures de course.” En attendant le grand jour, Julie, tout sourire, s’entraîne dur en conciliant au mieux vie professionnelle, vie de famille et vie de sportive. Renaud Croix |
Toujours les mêmes fidèles sur les triathlons... La famille Colon et la famille Debock
il en fallait du courage le dimanche pour prendre le départ du LD sous une pluie abondante, un vent plus que désagréable et à peine 7°... Froid !!!!
Véro, Sylvia et Roland ont défendu les couleurs du Titan sur le promo le samedi
Julie, Christan et André sur le LD le dimanche
Voici le lien des photos
https://picasaweb.google.com/debock.christian/Butgenbach2011?feat=email#
Voici les liens des résultats
promo: http://www.chronorace.be/web2/classements/Classement.aspx?eventId=6116033429510&mode=large&IdClassement=6969
LD: http://chronorace.blob.core.windows.net/files/6977.pdf